
Avenir institutionnel : les discussions ont commencé
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Les discussions sur l’avenir institutionnel du pays ont débuté à l’Élysée avec un geste de bonjour présenté par le porte-parole du Sénat coutumier.
Lors de son discours d’ouverture concernant l’avenir institutionnel du pays au Palais de l’Élysée. Le président de la République Emmanuel Macron a présenté plusieurs points, dont des perspectives de stabilité économique, les compétences avec les relations extérieures.
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Lors de son discours d’ouverture concernant l’avenir institutionnel du pays au Palais de l’Élysée. Le président de la République Emmanu...
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5 jours que les discussions sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie se tiennent à huis clos à Bougival. Suite aux proposi...
5 jours que les discussions sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie se tiennent à huis clos à Bougival. Suite aux propositions faites par Emmanuel Macron lors de l'ouverture, les différents partis calédoniens tentent de trouver un accord.
Il serait donc posé sur la table l’idée d’une période de transition allant de 15 à 20 ans, et qui permettrai de reconstruire l’archipel, d’assainir ses finances publiques, refonder sa fiscalité ou encore, diversifier son modèle économique qui repose essentiellement sur une industrie du nickel en grande difficulté. À l’issue, une nouvelle consultation pourrait être envisagée, non plus binaire comme ce fut le cas entre 2018 et 2021.
Devant les États insulaires du Pacifique, en juin dernier, Emmanuel Macron avait déjà plaidé pour « un projet nouveau », mettant en cause le « caractère tranché du oui ou non » et promettant ne pas refaire les mêmes erreurs pour la suite. L’option d’un référendum d’un ou plusieurs projets avait déjà été évoqué par le passé, notamment en 2014 dans un rapport de Jean Courtial et Ferdinand Mélin-Soucramanien sur l’avenir institutionnel de l’archipel.
La trajectoire vers un référendum de projet, ou de projets, a également été défendue par Manuel Valls et certains groupes politiques calédoniens. En attendant, la Nouvelle-Calédonie serait régie par une Loi fondamentale, là-aussi avancée dans la proposition de Manuel Valls, qui viendrait remplacer l’accord de Nouméa, transitoire, au titre XIII de la Constitution.
Jean-Tenahe Faatau
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